« …Si ces mineurs ont attendu la commémoration de cette fermeture pour se plaindre des années après, c’est parce qu’Areva leur a laissé miroiter l’idée d’une prise en charge…sous la pression d’ONG internationales et d’anciens salariés français, la compagnie avait créé en 2010, un observatoire de la santé…
A ce jour, cet observatoire n’est parvenu à déceler aucun malade et pourtant 325 mineurs sont décédés des suites d’une infection pulmonaire a rappelé un ancien mineur durant l’assemblée qui les a réuni samedi…mauvaise foi ou manque de volonté de la part d’Areva ? Difficile à dire mais les tribulations de ces anciens semblent véridiques… »
Photo : RSE et PED