« …Le gouvernement, qui envisageait de créer sur ces terres une zone de protection de la vie sauvage et de développement touristique, avait mis en place en 1997 un programme de relocalisation des Bushmen.
Des associations de défense de droits de l’homme, qui s’étaient élevées contre l’éviction des Bushmen de leurs terres ancestrales au profit de groupes d’exploration de gisements de diamant, avaient alors poussé quelque 244 anciens habitants de la réserve de CKGR à intenter un procès contre les autorités botswanaises en 2002… »