« Le syndicat Sinaltrainal avait reçu des menaces de mort à travers des messages envoyés aux téléphones portables des travailleurs qui disaient : « Guérilleros fils de putes si vous continuez d’embêter la Nestlé il n’y aura plus de pardon. Nous allons vous à couper en morceaux. Mort aux communistes de Sinaltrainal ». La menace est signée par le groupe paramilitaire « Los Urabeños ». Quelques jours avant, quatre syndicalistes de Sinaltrainal avaient commencé une grève de la faim devant la fabrique de Nestlé à Bugalagrande… »
Photo : Site EuropeAid