« …Les autorités imputent l’attentat à la guérilla des Farcs, très active dans la région. Ces attentats pourraient être une manière d’intimider l’entreprise qui aurait refusé de payer « l’impôt révolutionnaire », ce que dément la firme Nestlé qui dit tout ignorer de ce genre de pratiques auxquelles ont pourtant souvent recours les groupes subversifs colombiens… »