« …Le pays n’en demeure pas moins en proie à un désastre économique…Au point que, pour payer sa dette à Moscou, le pouvoir n’hésite pas à « vendre » à la Russie une main-d’œuvre taillable et corvéable à merci…Les compagnies qui dirigent les camps décident de la quantité à produire en accord avec les autorités russes et nord-coréennes… »