« Deux géants mondiaux de l’électronique sont contraints d’ouvrir une enquête sur les conditions de travail dans leurs usines en Malaisie. Ce sont des employés népalais des filiales de Panasonic et Samsung qui ont lancé l’alerte. Ces derniers ont confié au journal britannique The Guardian être payés avec des salaires de misères pour des horaires indûs. Ils affirment aussi avoir été arnaqués au moment de leur embauche…
Avec une escroquerie digne des réseaux de passeurs clandestins et un piège qui se referme dès le pays de départ au moment du recrutement : tous ces migrants népalais affirment en effet avoir payé de soi-disant « frais à l’embauche » allant jusqu’à un peu plus de 1 000 euros… »
Photo : RSE et PED