« …Grâce au traité de Merck [avec l’Institut National pour la Biodiversité] au Costa Rica, la compagnie possède des droits légaux sur des zones qui abritent huit groupes culturels indigènes. Ces populations n’ont jamais été consultées ; elles n’ont pas pris part aux négociations et ne sont pas considérées comme bénéficiaires. Pire, plusieurs familles indigènes ont été expulsées des zones de prospection… »