« …La crise que traverse cette industrie a été attribuée à une baisse des cours mondiaux du café, provoquée par un surplus mondial du produit. Mais, une remontée ultérieure des prix ne semble pas avoir bénéficié aux petits producteurs de café au Kenya, quelque chose qui est attribué en partie à la longue chaîne d’intermédiaires qui détournent les profits — et à une organisation mal structurée de la commercialisation… »