« …Selon Amnesty International et Global Witness, plus de mille sociétés américaines sont concernées par ces nouvelles règles. Les deux organisations en ont retenu cent, dont elles ont passé au crible les déclarations déposées en 2014 à la commission des opérations de bourse américaine (SEC). Leur rapport estime que « 79 % n’ont pas répondu aux exigences minimales de la loi américaine sur les minerais du sang », et que « 16 % seulement » sont allées enquêter plus loin que leurs fournisseurs directs pour « entrer en contact ou tenter d’entrer en contact avec les fonderies ou les entreprises de raffinage qui traitent ces minerais »… »
Lire le communiqué et le rapport (en Anglais)
Photo : site EuropeAid