« Des paysans et villageois du Sierra Leone, de Côte d’Ivoire, du Cameroun et du Cambodge sont venus spécialement jusqu’à Paris pour l’occasion. Pour la première fois, le groupe Bolloré et sa filiale luxembourgeoise Socfin, qui gère des plantations industrielles de palmiers à huile et d’hévéas (pour le caoutchouc) en Afrique et en Asie, ont accepté de participer à des négociations avec les communautés locales. À l’ordre du jour, un sujet sensible : celui de l’« accaparement » des terres occasionné par les activités de Bolloré dans ces pays… »
Photo : Daniela Isola – Site EuropeAid