« Rares sont aujourd’hui les personnes qui pensent encore que les conventions des Nations unies, comme la Convention cadre sur les changements climatiques ou la Convention sur la diversité biologique, peuvent empêcher le réchauffement climatique, la perte de la biodiversité, l’épuisement des sols et la diminution des ressources en eau. De même, l’imposition de plafonds sur les émissions de carbone et de normes environnementales et sociales plus strictes pour réduire la consommation des ressources naturelles et protéger les travailleurs semble être passée de mode dans des économies frappées par la crise et craignant que de telles réglementations n’entravent le commerce et les investissements. »
Photo : RSE et PED