Merci d’avoir réfléchi et co-construit avec nous sur :

La RSE pour l’économie africaine dans l’après-COVID19

5ème Journée connectée – Jeudi 17 décembre 2020 

Dakar – Lomé – Cotonou – Nouakchott – Conakry – Yaoundé – Madagascar – Tanger – En ligne

Aujourd’hui la crise sanitaire a remis en cause les systèmes économiques partout dans le monde et a mis en évidence l’importance d’une économie mondiale soutenable.

Vous avez été 266 à participer et co-construire des solutions pour co-construire l’économie africaine de l’après-COVID19 en intégrant la RSE et les ODD – merci à vous !

Vous trouverez ci-après les présentations, les vidéos et la restitution des réflexions et propositions des séances de co-construction. Ces dernières ont souligné l’importance des TPE, PME et de l’économie informelle en Afrique, et les impacts de la COVID19 sur leur activité – La RSE doit être une solution pour elles ! Bonne lecture et bon visionnage !

Merci aux intervenant.e.s d’avoir partagé avec nous leur engagement et leur expérience, voici 3 idées fortes des interventions en ligne qui résonnent avec les propositions des sessions de co-construction :

• La RSE ne doit pas s’opposer à l’économique, au contraire
• L’engagement des employés est clé
• La RSE ça fait vendre !

Interventions

Fohla Mouftaou, Co-fondateur et dirigeant, Green Keeper (Bénin)

Natou Bamba-Colon, Responsable de la Cellule Mesure des Impacts, Proparco (France)

Echanges 1 : Questions Réponses

Abdoulaye Mbaye, Directeur général, NEUROTECH, Sénégal

Fohla Mouftaou, Co-fondateur et dirigeant, Green Keeper (Bénin): Bonnes pratiques 

Natou Bamba-Colon, Responsable de la Cellule Mesure des Impacts, Proparco (France) : Exemples de Projet

Ba Aliou Coulibaly, Représentant, Publish What You Pay, Mauritanie

Sidi Khalifou, Directeur Général du CDS -Mauritanie-

Maimouna Abdallahi SALECK, présidente ONG BiodiverCITES, Mauritanie

Restitution en ligne des travaux de groupe

Télécharger 

La 5ème édition de la Journée connectée a réuni 266 participants dans 8 villes africaines et en ligne, pour participer et co-construire des solutions pour l’économie africaine de l’après-COVID19 intégrant la RSE et les ODD. Différentes thématiques ont été discutée par les groupes dans les salles et en ligne.

Voici ci-après les propositions qui ont été faites pour l’intégration de la RSE dans l’économie africaine.

 Antananarivo : Sortir du seul mécénat et s’appuyer sur la performance RSE comme facteur de relance du secteur privé .

La session a bénéficié des interventions de David Roger, Dirigeant fondateur, BuyYourWay et de Mme Ulrichia Rabefitiavana, Dirigeante fondatrice, Ur-CSR Consulting avec la Modération de Karine Danielson, BuyYourWay Madagascar.

Les principales recommandations faites sont :

1. Rôle du secteur privé :

• Création de programme de formation continue dédiée aux dirigeants d’entreprise afin de sensibiliser sur le sens réel et les enjeux de la RSE pour la croissance de l’entreprise
• Sensibilisation au niveau des groupement patronaux et industriels
• Accompagnement et sensibilisation des entreprises à travers la communication de témoignages et d’études de cas
• Création d’un programme d’accompagnement dédié aux PME
• Création d’un programme de visites et de capitalisation sur les démarches et bonnes pratiques

2. Rôle du secteur public

• L’État devrait mettre en place des avantages incitatifs pour les entreprises qui ont une démarche structurée et opérationnelle
• Création d’un écosystème favorable pour les secteurs dépendant des ressources naturelles pour développer des filières durables
• Refonte du décret Mise en Compatibilité des Investissements avec l’Environnement (MECIE) en prévoyant des dispositifs de suivi de son application et des mesures d’accompagnement de sa mise en œuvre
• Sous l’impulsion de la Stratégie nationale pour la promotion de la RSE, modifier le code des marchés publics et ajoutant des clauses sociales et environnementales
• Responsabilisation des donneurs nationaux
• Adhésion à l’association dédiée aux achats durables publics pour la promotion de la notion de « durabilité » au sein du secteur public

3. Mise en place d’un cadre favorable :

• Incitation à la mise en place d’un label RSE adapté au contexte malgache et sous l’impulsion de multi acteurs
• Création de prix RSE pour la valorisation les démarches efficaces. Bien faire attention à la transparence des critères d’éligibilité et de sélection

4. Sensibilisation des parties prenantes :

• Organisation de salons, conférences et ateliers sur le sujet de la RSE ayant pour le but la communication sur les enjeux de la RSE à l’échelle individuelle
• Campagne de sensibilisation grand public pour expliquer avec des exemples concrets ce qu’est la RSE (ne pas tomber dans les explications trop conceptuelles)
• Compagne d’information-Éducation-Communication sur la RSE pour le consommateur et le grand public
• Intégrer la RSE dans le label ‘vita malagasy’ pour mieux sensibiliser le consommateurs
• Mobilisation du monde universitaire pour développer des cursus pro
• Travailler avec le Fonds Malgache de la Formation Professionnelle (FMFP) pour développer un curriculum de formation dédiée (exemple sur les éco gestes métiers….)
• Formation des journalistes sur les enjeux réels de la RSE (à l’instar de WWF et Transparency International-IM)

Conakry : La RSE, gage de relance entrepreneuriale pour une économie durablement responsable post-COVID19

Avec la participation de Augustin Loua, Dirigeant, Cabinet Coaching Espace, Amadou Touré, Enseignant et Gestionnaire et modéré par Elhadj Oumar Ibrahim, Dirigeant du cabinet de conseil RH et RSE Tous Talents.

La conclusion de cette session est que la COVID19 a frappé durement l’économie guinéenne, et que les PME en souffrent le plus. Face à cette situation inédite les PME se sont mobilisées pour solliciter une demander de subvention au gouvernement pour les aider à se relancer.

La RSE, peut être un gage de relance pour une économie durable si les PME acceptent d’être responsables et de mener un entrepreneuriat responsable pour l’économie guinéenne.

La fonction entrepreneuriale est par essence, le véhicule d’une transformation de l’économie. L’entrepreneur responsable guinéen, doit être capable d’engager la révolution économique nécessaire pour qu’advienne une économie guinéenne plus équitable et plus soutenable.

Les PME guinéennes doivent concilier la RSE et la recherche de profit, ceci permettra de repenser notre société et de rentabiliser notre justice sociale.

Cotonou : RSE et COVID19 : quelles mesures pour promouvoir la RSE au Bénin ?

En présence de Fohla Mouftaou, Co-fondateur et dirigeant, Green Keeper et modération de Yacoub Bitocho, Président de RSE Bénin.

Les recommandations de RSE Bénin sont :

• Créer un cadre incitatif pour les entreprises respectueuses de la RSE comme les exonérations fiscales et autres pour récompenser les entreprises qui adoptent des démarches RSE ;
• Doter le Bénin d’un cadre réglementaire/ légal relatif à la RSE, amenant les entreprises à un reporting responsable ;
• Mettre sur pied une politique nationale RSE pour la facilitation de la mise en œuvre de la Charte RSE BÉNIN ;
• Établir une distinction entre les très petites/micros/moyennes entreprises et les grandes entreprises dans l’objectif de faciliter le soutien étatiques lors des crises économiques ;
• Instituer une directive africaine (règlement) relative à l’insertion des règles RSE dans les entreprises de l’espace OHADA ainsi qu’au niveau de l’Afrique via l’Union Africaine ;
• Faire le plaidoyer auprès des organisations internationales (OI) et les autres organisations de la société civiles (OSC) des autres États du monde pour instituer un cadre conventionnel au niveau de l’ONU.

Dakar : Impacts de la COVID19 sur les entreprises : Témoignages d’entrepreneurs & résolutions à prendre pour renforcer le dialogue avec les Parties Prenantes.

En présence de Abdoulaye Mbaye, Directeur Géneeral de NEUROTECH et modération de Gloria Paraiso-Jossou, Dirigeante, RS Consulting (Sénégal)

3 axes ont été discutés :

• Renforcer le dialogue et les relations avec les parties prenantes (PP)
• Susciter la notion de consensus par rapport aux besoins de chacun grâce à la transparence
• Intégrer la notion de distanciation dans le fonctionnement des entreprises, qui doit être déclinée en fonction des Parties Prenantes principales.

3 parties prenantes principales:

• Les collaborateurs :
  • C’est la PP la + importante puisque ce sont eux qui font tourner l’entreprise ! quand elle est en danger, ce sont les mieux placés pour la défendre.
  • Il est essentiel de les mettre en avant et de faire en sorte qu’ils puissent défendre l’entreprise parce qu’ils l’aiment : d’où l’importance de la motivation, du dialogue, de la prise en compte de leurs besoins, afin de les aider à s’approprier la culture d’entreprise pour qu’elle devienne une « best place to work » ;
  • Ainsi, les collaborateurs seraient plus disposés à accepter des décisions difficiles : comme la réduction temporaire de salaires (des primes), des licenciements (ex: hôtel Terrou-bi).
  • D’ailleurs ces décisions doivent faire l’objet d’une transparence de la part de la Direction avec l’octroi d’un « droit de regard » valable également pour les autres parties prenantes. Enfin, ouvrir une partie du capital aux collaborateurs afin qu’ils en deviennent des actionnaires, fut-ce minoritaires.
  • Télétravail + formations pour le télétravail ; pour les autres collaborateurs, voir les procédures (allègement horaires…) avec un département RH au taquet à l’écoute des collaborateurs, car il y a un risque important de turn-over.
• Les clients :
  • Il est essentiel de se rapprocher d’eux afin qu’ils puissent continuer à accéder aux produits et services ; d’où l’importance de mener une réflexion et un questionnement, permettant d’intégrer leurs préoccupations dans l’offre de services et de proposer un système adapté.
    • Ex : service à domicile, système de livraison et moyen de paiement à distance
  • Les fournisseurs :
    • Ce sont des parties prenantes externes particulièrement stratégiques.
    • Il est essentiel d’établir une relation avec eux qui soit gagnante-gagnante et de faire un lien avec l’achat responsable : Comment oeuvrer pour que le fournisseur fournisse un produit qui minimise – dans la mesure du possible – ses impacts ?
    • Les informer de tous les changements susceptibles de survenir ;
    • Les rassurer et garder leur confiance : C’est la démonstration de confiance (A. MBAYE) :
      • Ex : en menant des projets avec eux au profit des populations (sponsoring…)
      • Ex : En renégociant avec eux les délais de paiements, même s’il ne faut pas trop tirer sur la corde (d’où l’importance d’avoir une bonne trésorerie pour pouvoir les payer dans des délais raisonnables)
    • Ainsi et au sortir de la crise, ils deviendront non seulement des fournisseurs stratégiques, mais également fidèles !

Nouakchott : L’économie responsable pour créer plus d’impact dans le monde de l’après Covid-19 

Avec la participation de Sidi Khalifou, Directeur Général de l’entreprise CDS , Ba Aliou Coulibaly,  Représentant, Publish What You Pay Mauritanie ; Souleymane Cisse, Chargé de projet agriculture, développement rural & biodiversité à l’AFD et Maïmouna Abdallahi SALECK, Présidente de l’ONG BiodiverCités avec la modération de Mamadou Dia.

Les principales recommandations sont :

• Veiller à la protection de la biodiversité
• Développer l’économie circulaire basée sur la consommation locale et l’utilisation des produits locaux qui constituent une alternative à la mondialisation
• Renforcer la gouvernance horizontale et verticale
• Renforcer la transparence
• Organiser et soutenir le secteur informel en leurs offrant des crédits tout comme cela se passe avec le secteur privé
• Soutenir le secteur privé notamment les entreprises durables qui disposent d’une bonne politique de la RSE
• Repenser le modèle actuel de développement qui est principalement basé sur l’exportation des produits extractifs (miniers, pétroliers, gaziers et halieutiques…)
• Aller au-delà de la RSE notamment en promouvant le contenu local (« local content ») comme moteur de développement durable et inclusif
• Faire du benchmarking avec d’autres pays, par exemple avec la Norvège afin de mieux adopter les bonnes pratiques et de concilier les différentes ressources économiques.
• Créer des fonds pour les générations futures, fonds pour faire face aux crises etc. pour mieux anticiper les dégâts des catastrophes naturelles,

Lomé : 2 thématiques : Entrepreneurs sociaux : les rendre plus résilients en s’appuyant sur leur impact social et Quelle place accorder au digital pour assurer la pérennité de leurs activités en cette période de COVID19

Avec la participation de Falone Yawa Alognon, entrepreneure, Beauty Nap, M. Cédric Fiadjoe Edem, entrepreneur digital et la modération de Placide Tagdine Dougah

Les participants ont bénéficié du partage des expériences des entrepreneurs présents. Les discussions ont porté sur la définition,d’un entrepreneur social et d’un entrepreneur responsable sachant qu’il n’ existe pas de cadre juridique qui précise les différences.

Les échanges se sont focalisés sur les défis rencontrés par les entrepreneurs et l’impact de la COVID19 sur leurs structures.

Pour Beauty Nap, la COVID19 a permis de développer une nouvelle offre basée sur la collecte et la réutilisation des emballages, pour faire face au défaut d’approvisionnement en emballages causé par le virus.

Un besoin en formation en matière d’accompagnement des entrepreneurs pour s’approprier les enjeux d’entreprenariat et les enjeux en relation avec l’environnement général (pays, famille) a été confirmé.

En conclusion, pour une forte résilience des entreprises il faut :

• S’approprier des outils adaptés pour son entreprise
• Accompagner la résilience à travers la formation
• Définir ses objectifs sociaux et sociétaux
• S’appuyer sur le digital  et en assumer les risques

Tanger/En ligne: Quels impacts de la COVID19 sur les travailleurs informels et quelles bonnes pratiques ?

Avec la coordination de Joëlle Brohier, Présidente, RSE et Développement, Hind Ait Mhamed et Nora Elhoudaigui

Les recommandations formulées par le  groupe sont :

Rôle de l’État

• Le statut juridique pour sortir de l’informel est une mesure essentielle mais pas suffisante.
• Mettre en place une approche systémique basée sur la solidarité étatique à long terme : l’État doit donner confiance et mettre en place des conditions attractives pour éviter de démarrer son activité dans l’informel
• Utiliser la segmentation : décréter d’une manière générale n’est pas efficace, il faut plutôt définir les cibles vulnérables et quelle action à mettre en place – préventive ou curative – pour aider ceux qui sont ou ont été dans l’informel

Rôle des entreprises

Les entreprises doivent assurer la pérennité des postes pour les salariés mais aussi pour les fournisseurs pour éviter qu’ils tombent dans l’informel. En période de crise, cette pérennité relève de la responsabilité sociétale.

Le rôle des programmes internationaux et leur impact positif sur les communautés doivent contribuer à la réduction de l’informel.

Yaoundé : Quelles mesures d’accompagnement des PME pour la relance post-COVID19 de l’économie

Elle était animée par Kléber Biboum, Directeur général de l’entreprise Go Africa Business et Membre du Conseil d’Administration de l’Association RSE et Développement, avec la participation du Ministère des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Économie Sociale et de l’Artisanat, représenté par Monsieur Maximilien Ze, de la Direction des Projets et de la Prospective et de Mme Patricia Ze, de la Direction des PME.

De cette session locale, les recommandations suivantes ont été formulées :

• Multiplier les forums comme la Journée avec une plus grande envergure du format ;
• Édifier régulièrement les PME sur le concept de la RSE, les outils RSE et les bonnes pratiques ;
• Mettre en œuvre une économie résiliente et solidaire à travers la participation des réseaux dynamiques d’acteurs aux activités de production de masse ;
• Accompagner les PME dans la transition numérique ;
• Faciliter la création des cadres de concertation entre les CTD (Collectivités Territoriales Décentralisées) , les start-ups, les TPE et les PME, au niveau local, régional et national, pour favoriser le développement local ;
• Inciter la prise en charge des personnes vulnérables dans l’implémentation des stratégies de RSE au Cameroun.

Présentations

Fohla Mouftaou, Co-fondateur et dirigeant, Green Keeper (Bénin) : Présentation

Fohla Mouftaou, Co-fondateur et dirigeant, Green Keeper (Bénin) : Bonnes pratiques

Natou Bamba-Colon, Responsable de la Cellule Mesure des Impacts, Proparco (France)

Sidi Khalifou, Directeur Général, CDS (Mauritanie)

Maïmouna Abdallahi SALECK, Présidente, ONG BiodiverCités (Mauritanie)

Liste des intervenants :

Session plénière (en ligne) – Afrique : quel modèle d’entreprise pour l’atteinte des ODD dans l’après-COVID19 ?

• Fohla Mouftaou, Co-fondateur et dirigeant, Green Keeper (Bénin)
• Natou Bamba-Colon, Responsable de la Cellule Mesure des Impacts, Proparco (France)
• Modération : Gloria Paraiso-Jossou, Dirigeante, RS Consulting (Sénégal)

Antananarivo : Sortir du seul mécénat et s’appuyer sur la performance RSE comme facteur de relance du secteur privé

• David ROGER, Dirigeant fondateur, BuyYourWay
• Ulrichia RABEFITIAVANA, Dirigeant fondatrice, Ur-CSR Consulting
• Modération: Karine Danielson, BuyYourWay Madagascar

Conakry : La RSE, gage de relance entrepreneuriale pour une économie durablement responsable post-COVID19

• Augustin Loua, Dirigeant, Cabinet Coaching Espace
• Amadou Touré, Enseignant et Gestionnaire
• Modération: Elhadj Oumar Ibrahim

Cotonou : RSE et COVID19 : quelles mesures pour promouvoir la RSE au Bénin ?

• Fohla Mouftaou, Co-fondateur et dirigeant, Green Keeper
• Modération de Yacoub Bitocho, Président de RSE Bénin.

Dakar : Impacts de la COVID19 sur les entreprises : Témoignages d’entrepreneurs & résolutions à prendre pour renforcer le dialogue avec les Parties Prenantes

• Abdoulaye Mbaye, Directeur général, NEUROTECH
• Modération : Gloria Paraiso-Jossou

Nouakchott : L’économie responsable pour créer plus d’impact dans le monde d’après Covid-19

• Sidi Khalifou, Directeur Général, CDS
• Ba Aliou Coulibaly, Représentant, Publish What You Pay, Mauritanie
• Souleymane Cisse, chargé de projet agriculture, développement rural & biodiversité -AFD-
• Maïmouna Abdallahi SALECK, Présidente de l’ONG BiodiverCités
• Modérateur: Mamadou Dia

Lomé : Entrepreneurs sociaux : les rendre plus résilients en s’appuyant sur leur impact social et quelle place accorder au digital pour assurer la pérennité de leurs activités en cette période de COVID19

• Falone Yawa Alognon, entrepreneure, Beauty Nap,
• M. FIADJOE Edem Cédric, Digital entrepreneur
• Modération: Placide Tagdine Dougah

Yaoundé : Quelles mesures d’accompagnement des PME pour la relance post-COVID19 de l’économie

• Kléber Biboum, Directeur général de l’entreprise Go Africa Business et Membre du Conseil d’Administration de l’Association RSE et Développement,
• Monsieur Maximilien Ze, Direction des Projets et de la Prospective, Ministère des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Économie Sociale et de l’Artisanat.
• Mme Patricia Ze, Direction des PME, Ministère des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Économie Sociale et de l’Artisanat.

Session en ligne et Tanger : Quels impacts de la COVID19 sur les travailleurs informels et quelles bonnes pratiques ?

• Joëlle Brohier, Présidente, RSE et Développement
• Hind Aït Mahmed, Enseignante universitaire, ENCG Tanger

Merci aux partenaires et co-organisateurs de cette Journée :

Avec le soutien de :

Nos événements en ligne sont réalisés en partenariat et avec le soutien de :

Nos événements en ligne donnent la parole aux acteurs et ne reflètent pas nécessairement les vues de l’AFD.