« La volonté du gouvernement congolais est d’empêcher ces deux représentants de la société civile de participer au débat public sur la gestion des ressources pétrolières du Congo en les accusant d’abord d’abus de confiance pour lequel ils ont bénéficié d’un non lieu. Poursuivis maintenant pour faux et usage de faux, le procès traîne en longueur de façon ostentatoire… »