« La Ligue sénégalaise des droits humains a porté plainte […] dans le cadre de l’affaire des carburants toxiques fournis aux pays africains. Ce scandale dit du « sale diesel » avait été révélé par l’ONG suisse Public Eye le 16 septembre dernier…
Selon le rapport, le carburant vendu sur le continent peut contenir « jusqu’à 378 fois plus de soufre que la teneur autorisée sur le plan International », sans compter « d’autres substances très nocives comme du benzène et des aromatiques polycycliques à des niveaux également interdits par les normes internationales »…
Malgré la révélation d’un enjeu de santé d’une telle ampleur, les gouvernements des pays concernés se sont pourtant faits discrets jusque-là… »
Photo : RSE et PED