« Chiponda a affirmé que les gens étaient plus mal lotis depuis qu’ils avaient été déplacés, puisqu’ils vivaient essentiellement d’aides alimentaires offertes par des agences humanitaires et de dons provenant des mines. Elle a ajouté qu’un grand nombre d’enfants ont abandonné l’école et aident à subvenir aux besoins de leurs familles en vendant du bois de chauffage. »
Crédit photo : Marc Thil (site EuropeAid)