« Les États recourent de manière croissante à des sous-traitants et font de plus en plus appel à des entreprises privées pour les livraisons et les ventes internationales d’armes, ce qui ne fait qu’augmenter le risque de voir ces armes envoyées, détournées et utilisées pour commettre de graves violations des droits humains… ». A propos du rapport ‘Dead on Time – arms transportation, brokering and the threat to human rights’ (en anglais), d’Amnesty International et TransArms. Voir aussi le communiqué de presse (en français)