« Le monde des affaires n’est pas seulement confronté au coût humain du VIH/Sida mais aussi à des pertes en termes de profit et de productivité. Dans le même temps, le lieu de travail peut jouer un rôle vital dans la réduction de la propagation et de l’impact de l’épidémie. Au Cameroun, où à peine moins de 7 pour cent de la population âgée de 15 à 49 ans est séropositive, l’organisation patronale GICAM a réalisé des progrès significatifs dans sa « croisade contre le VIH/SIDA ». »