« Des ateliers de confection textile avec des employés boliviens. Une augmentation des heures de travail dans les petits commerces et dans les supermarchés. Des conditions précaires dans les call centers et dans la construction. La sous-traitance et la tertiarisation dans les moyennes et grandes industries. La précarité dans le secteur du conditionnement de poisson et dans le secteur agricole. D’un point de vue moral, on appelle cela du « travail esclave ». Mais tous ces cas sont des cas de surexploitation, une organisation des relations du travail qui recherche des profits extraordinaires… »