« …Kiki Kiatomba, président de Cocodem (Comité de coordination et de développement de Muanda) partage le même point de vue. Courroie de transmission entre la population et Perenco, il a salué « la bonne collaboration » qui lie les deux partenaires. « Sans Perenco, note-t-il, Muanda serait encore un grand village ».
Il s’est longuement attardé sur les malentendus nés du rapport sénatorial sur la pollution dans le territoire de Muanda. « Le rapport du Sénat a péché, rappelle-t-il, par le fait qu’il a minimisé l’impact positif de Perenco à Muanda. Le Sénat n’a pas pris en compte la pollution qui vient de l’Angola à partir de la raffinerie de Soyo »…
Les réalisations sociales de Perenco en RDC et de ses partenaires sont définies, en collaboration avec le Comité de concertation et de développement de Muanda, organe représentatif des communautés locales, et portent sur tous les aspects. Aucun secteur n’est négligé. Aucune communauté locale n’est non plus marginalisée.
De Yema à Banana et dans les trois grands secteurs du territoire de Muanda, Perenco est là, bien présent dans les secteurs des infrastructures, de l’éducation, de la santé, de l’eau et électricité, de l’emploi ainsi que de la culture et sport
Dans le secteur spécifique de l’environnement, Perenco participe activement au reboisement, à la lutte contre la pollution, à l’agroforesterie à Yema, à l’appui à l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) pour la protection du Parc marin des Mangroves… »
Photo : Cyprien Banyanga – Site EuropeAid – Récolte du manioc en RD Congo