WildLeaks : quand Internet s’attaque aux crimes environnementaux

5 septembre 2014 - greenetvert.fr

« …Afin de garantir l’anonymat, le site utilise TOR, un réseau informatique, composé de routeurs organisés en couches – aussi appelés nœuds d’oignons – qui transmettent de manière anonyme tous les échanges Internet. Grâce à ce système, tout témoin d’actes de braconnage, de trafic d’animaux ou de déforestation, peut signaler sans se dévoiler. Une fois étudiées, vérifiées et validées par l’équipe de WildLeaks, les informations sont communiquées aux médias et une enquête est généralement ouverte.

« Le crime contre la faune est la quatrième plus grande criminalité transnationale d’une valeur d’au moins 17 milliards de dollars par an, après le trafic de stupéfiants, la contrefaçon et le trafic d’êtres humains » explique son fondateur, Andrea Crosta. Ces crimes menacent « non seulement de nombreuses espèces – éléphants, rhinocéros, félins et singes – mais dégradent aussi les forêts… »

Photo : RSE et PED

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