« IndustriALL Global Union avait demandé à Roche d’intervenir fin novembre à un moment critique quand il fallait répondre à l’ordre donné par le ministère du Travail.
Roche a envoyé sa direction turque pour rencontrer Deva à la mi-décembre. Roche a toutefois conclu que Deva agissait conformément à la législation turque, indépendamment de la législation internationale, de la viabilité de Roche et de la conformité de ses engagement. Roche n’a pas cherché à régler la question des licenciements massifs et autres infractions graves aux droits du travail… »