Brésil, JO : la suppression de la « sale liste » des entreprises bénéficiant du travail forcé fait peser une menace sur les travailleurs

« n article publié par le journal britannique The Guardian, le 2 Mars 2016, se montre préoccupé par l’augmentation possible du nombre de cas de conditions de travail analogues à l’esclavage au Brésil en raison de non seulement de la suspension de la Sale Liste – Dirty List, instrument qui met en œuvre des restrictions aux entreprises ayant bénéficié directement ou indirectement de conditions de travail analogues à l’esclavage; mais aussi de la proximité des Jeux olympiques. La préoccupation est également partagée par le coordonnateur national du programme de lutte contre le travail forcé de l’Organisation internationale du Travail (OIT) Luiz Machado comme indiqué dans l’article.

Cette Liste a été créé en 2003, et elle publie les noms des entreprises qui ont été condamnées à une amende lors des inspections par le ministère du Travail pour l’utilisation de conditions de travail analogues à l’esclavage et cette évaluation a été confirmée après une procédure administrative… »

Photo : RSE et PED

Nos partenaires